1968. Hasard ou non, c’est pourtant la date du lancement du festival Jazz en liberté. Le principe ? Pendant trois jours, réveiller les rues, places, scènes et même les flots par les sept notes formant le jazz. Un p’tit coup de blues cette année, avec les britanniques Ian Seagal & Connie Lush ou le tricolore Mathieu Pesqué, de soul ensuite, avec Ben Oncle Soul, pour finalement vagabonder sur des rythmes manouches (en hommage à Django Reinhardt) avec Les Pères Peinards accompagnés de Samy Daussat ou Les Doigts de l’Homme.
Entre les coups de guitare et de trompette, du cinéma (Swing, The Soul of Man), mais aussi du gospel réarrangé à la sauce funk hip-hop, du jazz New Orleans avec le fil rouge du festival, les Chemises Red. Le peuple n’a qu’à se laisser guider…