THOMAS VDB S'ACCLIMATE
Le mot de Thomas VDB : J’ai grandi dans les années 80, une époque où on pensait encore que le pire était derrière nous. Je regardais Annie Cordy à la télé avec mes parents et je me disais : « On est sains et saufs ! Si elle chante Tata Yoyo, y a pas de problème grave ! On risque pas de mourir tout de suite ! ». Aujourd’hui, je regarde les infos et...
Thomas VDB a la chaleur en horreur, alors, face au dérèglement climatique, deux choix s’offraient à lui : partir vivre à poil dans la forêt et manger des racines, ou bien revêtir son plus beau costume à la Charles Ingalls et venir nous causer de ses angoisses environnementales de néo-rural exilé dans l’Essonne, pas encore tout à fait au point quand il s’agit de faire pousser des carottes. Et on ne peut que se réjouir qu’il ait opté pour la seconde option.
Publié le 09/02/2023