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théâtre

L’Arbre à rêver

Aurore : D’habitude on ne m’aime pas. Bobi : Pourquoi dire d’habitude. Il y a mille façons de parler de Jean Giono, L’Arbre à Rêver en est la mille et unième. On y découvre entrelacés, des épisodes de la vie de l’homme et des extraits de ses œuvres majeures.

Des textes puissants et rarement dits. L’Arbre à Rêver éclaire les facettes d’un écrivain résolument moderne, styliste et d’un poète obsédé de noirceur et de sensualité. Sur scène, c’est à travers la voix et le corps de trois comédiens qu’on accède à la force d’un Giono créateur et à ses personnages.

 

Cinquante ans après sa mort, les clichés et les malentendus retombent et on entend, sans intermédiaire et dans toute son actualité, la parole d’un écrivain libre et lucide. Henry Miller, qui entretint une longue correspondance avec Giono le considérait comme le Faulkner français, en ce qu’ils inventèrent tous deux un sud de littérature, plein de désir, de fureur, et d’âpre poésie.

Publié le 11/10/2021


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