expos
Motif central de Julien Colombier
Le territoire de Riom Limagne et Volcans est réputé pour sa flore et sa biodiversité. Et si cette richesse de la nature inspirait un artiste ? Laissons l’artiste Julien Colombier utiliser les collections du musée Mandet et la nature environnante pour créer une scénographie envoutante et immersive…
Cette exposition rétrospective est également l’occasion de faire le point sur la carrière prolifique de cet artiste, exclusivement consacrée à un motif végétal hypnotique. Du Massif au motif, le territoire se dessine sous ses coups de pinceau, et place le Musée Mandet au centre de l’attention.
Visites commentées les 4, 11, 18 et 25 février à 15 h
Les artistes s’emparent du musée Mandet !
Créé en 1866 par Francisque Mandet, conseiller à la cour d’appel de Riom et président de la société historique de la ville de Riom, le musée éponyme est installé dans deux hôtels particuliers des XVIIe et XVIIIe siècles, l’hôtel Dufraisse du Cheix et l’hôtel Desaix. L’ensemble des bâtiments, construits en pierre de Volvic, reprend le schéma classique de l’hôtel particulier entre cour et jardin.
Riche de ses 14 000 objets d’art, le musée Mandet présente dans ses collections permanentes beaux-Arts, objets d’art et design contemporain, de l’Antiquité au XXIe siècle. Passage incontournable dans le circuit touristique du territoire, ce musée géré par la communauté d’agglomération Riom Limagne et Volcans s’attache également à valoriser les artistes contemporains en les accueillant en résidence.
C’est au tour de Julien Colombier de s’approprier cet espace, en transformant la salle d’exposition et les collections permanentes du musée. L’univers artistique de ce peintre autodidacte, à la fois onirique, féérique et hypnotique, composé de jungles ou de forêts luxuriantes et colorées, se voit transposé à échelle monumentale.
Riche de ses 14 000 objets d’art, le musée Mandet présente dans ses collections permanentes beaux-Arts, objets d’art et design contemporain, de l’Antiquité au XXIe siècle. Passage incontournable dans le circuit touristique du territoire, ce musée géré par la communauté d’agglomération Riom Limagne et Volcans s’attache également à valoriser les artistes contemporains en les accueillant en résidence.
C’est au tour de Julien Colombier de s’approprier cet espace, en transformant la salle d’exposition et les collections permanentes du musée. L’univers artistique de ce peintre autodidacte, à la fois onirique, féérique et hypnotique, composé de jungles ou de forêts luxuriantes et colorées, se voit transposé à échelle monumentale.
Le massif pour un peintre du motif
Né en 1972, Julien Colombier travaille surtout l’acrylique et le pastel gras. Inspiré par l’art japonais, les artistes Henri Matisse et Keith Haring, il répète ses motifs géométriques et végétaux de manière obsessionnelle, créant un environnement organique surprenant. Issu de la culture du street art, il a su en apprivoiser les codes et adapter le savoir-faire issu de ses années d’apprentissage en un travail construit qui se décline aujourd’hui tant sur la céramique que sur des fresques peintes ou du textile. Ses nombreuses expositions personnelles (Style libre, Galerie Bookmarc, Tokyo en 2016 ; Exotica, Galerie CEDART, Genève ; Fauna & Flora, Galerie de Sèvres, Cité de la Céramique, Paris en 2018, Electric Ladyland ; Heterotopia, Maison Ackerman en 2020 ; Heterotopia II, Abbaye royale de Fontevraud en 2020, etc) et collectives (Tissus inspirés, Musée des Arts décoratifs, Paris, 2016 ; This is our music, Galerie Patricia Dorfmann, Paris, 2017) en font un artiste mondialement connu.L’artiste collabore également régulièrement avec des marques comme Cartier en 2015, Chanel ou Hermès.
Cette exposition monographique est l’occasion de mettre en valeur le parcours protéiforme de cet artiste talentueux. C’est aussi, pour cet artiste invité en résidence au musée Mandet, l’opportunité de réaliser un décor sur mesure, la possibilité de penser chaque espace de l’exposition en écho avec les collections du musée et les richesses naturelles du territoire. Julien Colombier s’inspire de l’Atlas de la biodiversité, un l’inventaire des espèces d’animaux et de plantes présentes sur le territoire de Riom Limagne et Volcans, pour réaliser ses fresques. De la cour d’entrée du musée, en passant par le salon d’honneur et les salons du XVIIIe siècle, entre extérieur et intérieur, le spectateur sera immergé dans une atmosphère surnaturelle.
Né en 1972, Julien Colombier travaille surtout l’acrylique et le pastel gras. Inspiré par l’art japonais, les artistes Henri Matisse et Keith Haring, il répète ses motifs géométriques et végétaux de manière obsessionnelle, créant un environnement organique surprenant. Issu de la culture du street art, il a su en apprivoiser les codes et adapter le savoir-faire issu de ses années d’apprentissage en un travail construit qui se décline aujourd’hui tant sur la céramique que sur des fresques peintes ou du textile. Ses nombreuses expositions personnelles (Style libre, Galerie Bookmarc, Tokyo en 2016 ; Exotica, Galerie CEDART, Genève ; Fauna & Flora, Galerie de Sèvres, Cité de la Céramique, Paris en 2018, Electric Ladyland ; Heterotopia, Maison Ackerman en 2020 ; Heterotopia II, Abbaye royale de Fontevraud en 2020, etc) et collectives (Tissus inspirés, Musée des Arts décoratifs, Paris, 2016 ; This is our music, Galerie Patricia Dorfmann, Paris, 2017) en font un artiste mondialement connu.L’artiste collabore également régulièrement avec des marques comme Cartier en 2015, Chanel ou Hermès.
Cette exposition monographique est l’occasion de mettre en valeur le parcours protéiforme de cet artiste talentueux. C’est aussi, pour cet artiste invité en résidence au musée Mandet, l’opportunité de réaliser un décor sur mesure, la possibilité de penser chaque espace de l’exposition en écho avec les collections du musée et les richesses naturelles du territoire. Julien Colombier s’inspire de l’Atlas de la biodiversité, un l’inventaire des espèces d’animaux et de plantes présentes sur le territoire de Riom Limagne et Volcans, pour réaliser ses fresques. De la cour d’entrée du musée, en passant par le salon d’honneur et les salons du XVIIIe siècle, entre extérieur et intérieur, le spectateur sera immergé dans une atmosphère surnaturelle.
Publié le 05/02/2024